En Belgique, un comparateur de crédit regroupe les offres de banques et prêteurs et les présente dans un format normalisé afin de comparer à périmètre constant : TAEG, mensualité estimée, montant total dû, frais (dossier, assurance), durée et éventuelles pénalités.
En Belgique, le comparatif de crédit couvre les crédits à la consommation (prêt à tempérament, ouverture de crédit, etc.) et, le cas échéant, le crédit hypothécaire, deux catégories encadrées par le Livre VII du Code de droit économique.
En Belgique, concrètement, vous renseignez le montant, la durée et votre situation (revenus/charges). L’outil calcule des simulations et trie les résultats par coût total, mensualité ou rapidité. Avant tout octroi, le prêteur doit réaliser une évaluation de solvabilité et consulte la Centrale des crédits aux particuliers de la Banque nationale de Belgique (registre couvrant crédits conso et hypothécaires), ce que le comparateur rappelle dans ses explications.
En Belgique, le comparateur de crédit exige pour l’information précontractuelle, que les prêteurs remettent les formulaires SECCI (consommation) ou ESIS/FEIS (hypothécaire) ; les comparateurs s’appuient sur ces données standardisées pour afficher des éléments comparables.
En Belgique, enfin, lorsqu’un comparateur agit comme intermédiaire (mise en relation rémunérée, collecte de dossiers), il entre dans le champ des intermédiaires en crédit : il doit être enregistré auprès de la FSMA (consommation et/ou hypothécaire), respecter les obligations de conduite (information claire, loyale, non trompeuse) et les règles propres à la distribution de crédit.